Brève sauvegarde du site Web Animal Freedom

Les humains sont-ils supérieurs aux autres espèces ?

Résumé d'un article de Titus Rivas

Une philosophie anthropocentrique suppose une différence essentielle entre les humains et les autres espèces, attribuant des qualités qui les rendent supérieurs. Malgré une infériorité physique, les capacités mentales distinguent les humains. Bien que les animaux fassent preuve de compassion, la traduction des perceptions morales en systèmes éthiques explicites est propre aux humains. La supériorité morale n'est pas garantie en pratique en raison de la cruauté humaine. L'idée d'un accès spirituel exclusif est remise en question, plaidant pour la reconnaissance de la parenté spirituelle avec d'autres espèces. Bien que les humains aient des attributs uniques, la valeur intrinsèque demeure égale pour toutes les créatures ayant des expériences subjectives. La fierté doit coexister avec l'humilité.

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Pour les droits des animaux et contre l'élevage industriel

Un animal n'est ni " une chose " comme une machine, ni un esclave. Un animal est un être vivant qui a des besoins, des sentiments et des droits. Le droit à la liberté ne peut être dérobé ou accordé. Il ne peut qu’être reconnu et respecté.

Nous pensons que ce droits devraient être fondés sur le même principe que les droits humains : c'est-à-dire la liberté.

Les animaux en cage dans l'élevage industriel sont tout particulièrement privés de leurs liberté. Pour leur bien-être, tous les animaux devraient avoir des possibilités adéquates pour vivre naturellement.

Il se dit beaucoup d'absurdités sur les droits des animaux. Animalfreedom dénonce les arguments de faible poids ( sophismes ) pour et contre les droits des animaux, pour l'élevage industriel, pour l'expérimentation animale et pour et contre le végétarisme.

Nous présentons des articles et des livres concernant les droits des animaux, la nourriture saine, spirituel et les moyens légaux de mettre fin à l'élevage industriel.

Bien qu'il y ait une abondance d'images, de films [Cette page contient un fragment vidéo] et d'informations sur la maltraitance des animaux, ce site ne veut pas choquer, mais plutôt essaie de rendre les gens conscients des alternatives positives pour la manière dont les animaux sont traités.

Et le dernier, mais non le moindre, il peut vous faire économiser de l'argent.


Ce texte fait partie d'un site Web très complet sur les droits des animaux Animal Freedom. Ils ont été mis sur ce blog sous forme abrégée afin qu'ils puissent toujours être bien lus sur un smartphone ou un autre écran étroit.
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Les animaux ont-ils des droits ?

Quelle base permet de donner des droits aux animaux ?


Les animaux ne peuvent s’exprimer qu’indirectement en cas d’abus. Par conséquent, il nous revient de répondre à cette question. Les concepts susceptibles de former la base des droits des animaux sont : leur valeur intrinsèque, leur bien-être, le respect, la liberté, l’égalité, la compassion. Bon nombre de ces concepts semblent appropriés mais peut d’entre eux conviennent à la réalité.

Nous allons maintenant tester l’exploitabilité de chacun de ces concepts selon un certain nombre de principes.
  1. La formulation des droits des animaux devrait être un concept exploitable et pratique pouvant être légalement revu,
  2. Les droits des animaux doivent profiter à tous les individus, y compris toutes les espèces sauvages et d’élevage, à savoir : les animaux domestiques, mammifères mais aussi insectes,
  3. 3 Considérant la diversité de ces espèces, nous devrions prendre en compte leur nature particulière,
  4. Les droits des animaux s’appliquent aux personnes et elles devraient y faire appel,
  5. La mort tient une position distincte dans les droits des animaux : le massacre, la chasse par des experts pour la gestion de la faune et la pêche professionnelle. Les règles devraient être renforcées pour assurer une mort rapide et sans douleur, qui doit servir un but (contrairement à la prise excédentaire de poisson dans la pêche) Cela s’applique aussi aux meurtre de vertébrés néfastes qui ne pourraient être stoppés.
  6. Le droit de l’espèce surpasse le droit de l’individu (si par exemple une plante ou un animal se trouve en voie de disparition, on ne devrait pas avoir le droit de les déranger). Une certaine espèce (par exemple une truie ou un saumon) a le droit de ne pas être produit ou élevé en surnombre pour l’exportation. Cette production de masse est indigne d’un animal et est destinée à satisfaire plus que nos besoins essentiels.

Est-il possible de concevoir un principe fondamental judiciaire satisfaisant et pouvant être adéquatement employé ?


Parmi les options qui pourraient fonctionner, on trouve l’application d’un même principe pour les droits des hommes et ceux des animaux, c’est le droit à la liberté.
La liberté est un concept paradoxal : définir la liberté c’est la nier. Il faut formuler des limites claires du début à la fin, sinon le concept ne peut être exécuté. La meilleure façon d’employer le concept de liberté est de décrire toutes les situations qui frustrent la capacité d’un animal à être libre.
Le fait de fixer des limites s’applique à la fois aux humains et aux animaux. C’est par conséquent un concept puissant. Il faut non seulement prendre en considération le minimum standard de la liberté d’un animal mais aussi les limites physiques (par exemple les clôtures).

Ce texte fait partie d'un site Web très complet sur les droits des animaux Animal Freedom.

La liberté est un droit fondamental pour les animaux

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Pourquoi la liberté est-elle si importante ?


La loi


La liberté constitue le premier thème dans l’énonciation des droits fondamentaux de l’homme dans les constitutions de nombreux pays. Un droit de l’homme fondamental correspond à un droit indiscutable. Peut-on faire respecter les droits des animaux par le recours au juge ?

La religion


L’histoire de la liberté en tant que base de nos lois remonte bien avant la naissance du Christ. Dans la religion également, la liberté est le premier souci dans les règles que les croyants s’imposent, du moins si vous croyez à l’énoncé « agis envers les autres comme tu agis envers toi-même » et qui peut se traduire ainsi : « Ma liberté s’arrête là où commence celle des autres ». Ceci est également connu sous le nom de Règle d’Or, le centre de toute l’éthique humaine. En ce qui concerne les hommes, il est nécessaire de consacrer une loi civile et religieuse à ce droit fondamental, car nous avons parfois tendance à dépasser les limites ou à réduire la liberté des autres. Nous ne le faisons pas toujours exprès. Souvent, on réalise qu’on a dépassé les limites après l’acte.

La santé


L’importance de la liberté ressemble à l’importance de la santé. La santé est une forme de liberté. Nous ne sommes pas réellement sûrs si les animaux de toutes les espèces souffrent et tombent malades lorsqu’on les prive de leur liberté mais nous savons que les animaux qui vivent en liberté dans la nature feront tout pour ne pas se retrouver enfermés. Le fait qu’un animal souffre du manque de liberté ou de l’impossibilité de se comporter de manière naturelle, peut souvent être déduit du comportement déviant des animaux en captivité. Citons un exemple commun : le va-et-vient incessant des ours polaires lorsque leur liberté de mouvement est réduite, qui a donné lieu à l’expression : tourner en rond comme un ours en cage.

La nature


Dans la nature, la liberté est évidente. Le terme « Nature Libre » est un testament. Le manque de liberté parmi les animaux n’existe qu’en raison de la maladie ou de l’âge mais par chance, la mort libère l’animal de la souffrance. Aucune espèce dans la nature n’en prive une autre de sa liberté, sauf au cours d’une courte période ou ils se mangent l’un l’autre. Cependant, cela ne pose de problème ni aux humains qui mangent de la viande, ni aux végétariens.

Finalement, c’est notre instinct qui nous dicte de nous mettre en groupe forcé de vivre ensemble dans une situation injuste.

Liberté, éthique et responsabilité


La liberté est une bonne base pour l’éthique : ce qui fait grandir la liberté est bien, ce qui réduit la liberté est mal. Mais la liberté ne peut exister sans définir des limites. Les limites ne sont pas fixes et plus de liberté entraîne plus de responsabilités. Tout le monde n’aime pas avoir des responsabilités et par conséquent, certaines personnes, de manière consciente ou inconsciente, choisissent d’avoir moins de liberté mais se sentent libres dans ce procédé. Chacun a le droit de définir sa propre frontière lorsqu’une autre personne est concernée. L’éthique n’est pas là pour forcer les autres à définir une frontière contre leur volonté.

Les animaux sont des objets de loi


Selon la loi moderne, les droits des animaux issus de l’élevage intensif ne sont pas logiques. Car les animaux sont des objets de loi et non des sujets de loi. Dans l’esprit de la constitution, cependant, les propriétaires d’élevages intensifs commettent des actes criminels car l’esprit de la constitution nomme la liberté pour chacun : liberté, égalité et fraternité.

Selon la constitution, il n’y a aucune différence légale entre avoir une tirelire en forme de cochon ou mettre un porc destiné à la boucherie dans une cabane pour plusieurs mois. Il est injuste qu’il n’existe aucune différence entre un objet et un animal.

Obligation morale de protéger


Pour poser des limites aux criminels, nous avons la police et le Ministère de la Justice. Ils ont les moyens de protéger nos frontières contre ceux qui les traversent. La police et le Ministère de la Justice ont le devoir de priver les criminels de leur liberté aussi longtemps que nécessaire. Dans notre système juridique, la liberté est garantie à une telle échelle que même les criminels ont droit à la liberté.

Lorsque parler est insuffisant, il se peut qu’on doive faire appel à la force pour contraindre quelqu’un à respecter les libertés de quelqu’un d’autre. Protéger les plus faibles fait partie des devoirs de la société, les handicapés par exemple qui ne sont pas à l’abri de l’exploitation. L’animal est, en comparaison avec les propriétaires d’élevages intensifs, le groupe le plus faible qui ne peut se défendre. Dans la nature, la loi du plus fort et du plus rapide prévaut. En protégeant le groupe le plus faible, en combinaison avec une garantie de liberté, nous dépassons la nature.

L’élevage intensif devrait s’arrêter


Nous devons conclure que les droits constitutionnels des animaux de ces élevages ont été violés par l’extrême confinement de leur liberté de mouvement et l’impossibilité d’avoir un comportement normal. Dans les élevages intensifs et parfois en politique, le droit à la liberté est ignoré et balayé sous le tapis. Dans une société civilisée qui respecte les droits de base et essaie de les maintenir, on continuera à manger certains animaux mais avant de mourir, l’animal aura une vigne digne d’être vécue. Pour le gouvernement, cela signifie qu’il a le devoir moral d’abolir l’élevage intensif et de créer une forme d’élevage ou la liberté est la base du bien être des animaux.

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